Par la richesse et la douceur de ses arômes aux subtiles notes fruitées, ce thé de Yiwu n’est pas sans rappeler celui de Mengku, également cultivé sur les versants de la province chinoise du Yunnan.
S’il est conservé et mûri avec soin, ses notes amères typiques du Pu Erh jeune cru se mueront en saveurs plus moelleuses et encore plus riches, dont la complexité ravira les plus fins palais.
Le Pu Erh se compose de feuilles de théiers plus âgés, qui lui apporteraient d’innombrables bienfaits. C’est pourquoi les médecins traditionnels chinois le tiennent en grande estime.
Vous pouvez infuser et déguster ce thé dès son arrivée. Vous pouvez aussi le conserver pendant quelques mois, afin de dévoiler tout le parfum et toute la douceur de ses arômes.
Si votre Pu Erh cru ravit déjà votre palais, veillez à vous procurer une autre galette. En effet, il est possible de faire vieillir ce thé pendant des décennies. Des collectionneurs vont même jusqu’à conserver des galettes âgées pour les transmettre à leurs enfants et petits-enfants !
